SIMONE BARBÈS OU LA VERTU

SIMONE BARBÈS OU LA VERTU

SIMONE BARBÈS OU LA VERTU

Date : Samedi 19 avril 2025
Heure : 14h
Durée : 1h14
Lieu : Cinéma Le Belmondo – 16 place Garibaldi – 06300 Nice
Tarif plein : 8 €
Tarif Festival : 6,50 €

BILLETERIE EN LIGNE

de Marie-Claude Treilhou
France • 1980 • 1h14
avec Ingrid Bourgoin, Martine Simonet, Michel Delahaye, Sonia Saviange, Noël Simsolo, Pascal Bonitzer, Paulette Bouvet

Simone Barbès est ouvreuse dans un cinéma porno. Un soir, après son travail, elle se rend dans une boîte de nuit lesbienne. Puis elle rencontre un homme seul et désespéré.

« Coup de maître d’un culot et d’une grâce infinis, le film apparaît comme l’un des chefs-d’œuvre oubliés du cinéma français, trait d’union possible entre le cinéma populaire d’avant-guerre et les conquêtes libertaires d’après la Nouvelle Vague. Il incarnerait même, rétrospectivement, ce que le progressisme appelle aujourd’hui de ses vœux : un contre-modèle soucieux des marginalités, des diversités sexuelles, écrit et tourné dans un élan fou par une jeune femme combative d’à peine 30 ans. Trente-huit ans plus tard, il n’a rien perdu de son bouillonnement existentiel ni de sa verve sentimentale. » Le Monde

La dea fortuna (Pour toujours)

SI JE MEURS, CE SERA DE JOIE

SI JE MEURS, CE SERA DE JOIE

SI JE MEURS, CE SERA DE JOIE

Date : Samedi 19 avril 2025
Heure : 15h30
Durée : 1h48
Lieu : Cinéma Le Belmondo – 16 place Garibaldi – 06300 Nice
Tarif plein : 8 €
Tarif Festival : 6,50 €

BILLETERIE EN LIGNE

d’Alexis Taillant
France • 2025 • 1h20
Documentaire

Micheline, 81 ans, rêve d’orgasmes et dit à qui veut l’entendre qu’elle crève de désir. Francis, 70 ans, militant aguerri, s’attaque sans relâche aux tabous autour de la vieillesse. Yves, 68 ans, se sentant comme une coquille de noix sur une mer démontée, cherche désespérément l’amour. Dans un monde qui sous-estime le pouvoir des personnes âgées, ils font partie d’un groupe de militants qui bravent les préjugés, osent réinventer la sexualité, l’amour et repenser la vieillesse…

La dea fortuna (Pour toujours)

PÉDALE RURALE

PÉDALE RURALE

PÉDALE RURALE

Date : Samedi 19 avril 2025
Heure : 18h30
Durée : 1h48
Lieu : Cinéma Le Belmondo – 16 place Garibaldi – 06300 Nice
Tarif plein : 8 €
Tarif Festival : 6,50 €

BILLETERIE EN LIGNE

de Antoine Vazquez
France • 2025 • 1h28
Documentaire

Benoît a construit son paradis à l’abri des regards, s’est émancipé à sa manière, résolu à faire face aux contraintes d’un espace qui dans les imaginaires entre en conflit avec son identité : la campagne. Un jour, lui et d’autres queers du coin décident d’organiser la première Pride du Périgord vert, parce qu’il est temps de sortir du bois, de prendre l’espace pour se célébrer, se réparer et enfin ouvrir une voie.

Le film sera suivit d’un échange avec le réalisateur

[Avant-programme]
ET DES RUINES QUE TU ME LAISSES
de Antoine Vazquez
France • 2019 • 20 min
Il existe des lieux où s’élabore un langage sans mots, une grammaire du désir qui résiste à la sujétion.

 

 

La dea fortuna (Pour toujours)

SLOW

SLOW

SLOW

Date : Samedi 19 avril 2025
Heure : 21h15
Durée : 1h48
Lieu : Cinéma Le Belmondo – 16 place Garibaldi – 06300 Nice
Tarif plein : 8 €
Tarif Festival : 6,50 €

BILLETERIE EN LIGNE

de Marija Kavtaradze
Lituanie • 2025 • 1h48 • vostfr
avec Greta Grineviciute, Kestutis Cicenas, Pijus Ganusauskas
Prix de la mise en scène au festival du film de Sundance 2023

Danseuse, Elena mène une vie sentimentale et sexuelle très libre. Elle rencontre Dovydas, un interprète en langue des signes venu l’assister pour un cours qu’elle donne à des élèves sourds. Ils sont immédiatement attirés l’un par l’autre. Au fur et à mesure que leur relation évolue vers davantage d’intimité, l’asexualité de Dovydas devient problématique pour Elena. L’amour qui les lie sera-t-il assez fort pour leur permettre de continuer à vivre ensemble ?

« Peut-on s’aimer sans sexe ? Slow ondule pianissimo autour de son motif mélodique sentimental. Car c’est surtout de corps, de tendresse, de sensations, de regards, de sincérité, d’échanges qu’il s’agit. Une dentelle de microvariations intimes creusant progressivement le cœur de l’intrigue […] Et un film qui doit naturellement aussi beaucoup à ses deux interprètes principaux et à la photographie délicate de Laurynas Bareisa. » Fabien Lemercier, Cineuropa.org

La dea fortuna (Pour toujours)